Balade urbaine : Pointe-à-Pitre nouveau visage, nouveaux quartiers / Bergevin-Chanzy-Henri IV

  • Thème : "Architectures du quotidien"

  • Gratuit

  • Sur place

  • Tout public

  • Accessibilité

  • Handicap moteur

  • Itinéraire et balade

  • Ville et pays d'art et d'histoire

  • Villes et pays d'art et d'histoire

  • Date

  • Le centre culturel Rémy Nainsouta

    Boulevard Légitimus, 97110 Pointe-à-pitre, Guadeloupe, Guadeloupe, Guadeloupe, Guadeloupe

©Ville de Pointe-à-Pitre

Sillonnez les quartiers Bergevin, Chanzy et Henri IV, éponymes des grands ensembles immobiliers qui sortirent de terre après le passage à Pointe-à-Pitre en 1956 du Ministre de la culture, André Malraux.
Moins de cinquante ans après, ces quartiers seront reconfigurés selon un nouveau schéma urbain impulsé par Marc JALET, urbaniste et architecte en chef de la deuxième Rénovation urbaine de Pointe-à-Pitre. Dans ce projet, le Mail à Man Réau en devenir constitue un des principaux ouvrages de même que la Maison de quartier Nicaise AKO.

Accessibilité

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Informations

Rendez-vous au Centre Culturel Rémy Nainsouta

Le centre culturel Rémy Nainsouta

  • Localisation

    Boulevard Légitimus, 97110 Pointe-à-pitre, Guadeloupe, Guadeloupe, Guadeloupe, Guadeloupe

  • Téléphone

    +590 590 83 06 43

  • À propos

    Le Centre Rémy Nainsouta, situé dans le bâtiment de l'ancien hôpital Saint-Jules, a été entièrement restauré après le passage du cyclone Hugo en 1989. Ce centre culturel porte le nom d'un grand humaniste, anticolonialiste, ancien maire de Saint-Claude (Guadeloupe). Le rez-de-chaussée dispose d'une bibliothèque consacrée à la Caraïbe et d'une salle de conférence, le premier étage abrite un vaste espace d'expositions. Né en 1883 à Saint-Claude en Guadeloupe, Rémy Nainsouta, fils d’un charpentier et d’une servante, fit des études secondaires au Lycée Carnot, bénéficiant d'une bourse. Elève brillant, plusieurs fois major de sa promotion, il fit ensuite l’école des cavaliers à Saumur. Il travailla au Sénégal, en Mauritanie, au Soudan (ancienne république du Mali) où il obtint le titre d’Inspecteur Général vétérinaire. Ces années au contact des Africains lui apprirent beaucoup sur le colonialisme. Maire de la ville de Saint-Claude de 1945 à 1965, il œuvra pour le développement de l'éducation avec la construction de plusieurs écoles dans la commune qu'il administrait. Preuve de son engagement, il fut précurseur en faisant ériger en 1948 la stèle de Louis Delgrès au Matouba. Il décède le 29 janvier 1969 à Saint-Claude.

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